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J'offre donc certains services à des artistes contemporains avec qui j'ai envie de travailler
(ou qui expriment le désir de travailler avec moi),
les compétences que je leur propose couvrent divers domaines
mais je réponds au cas par cas à des besoins de
tous plus ou moins reliés par une préoccupation de l'écriture (même la pâtisserie) qui était déjà présente dans mes anciennes productions. Je ne communique pas à ce propos sur une grande échelle, je cherche plutôt à éveiller l'intérêt pour mon travail au fur et à mesure que certains remarquent mes compétences et les rencontres suivent naturellement leur cours, le travail s'engage ensuite.

Mon travail effectif apparaît donc au fur et à mesure des rencontres avec divers acteurs du monde de l'art qui le suscitent. Cela peut être la rencontre du travail d'un autre et c'est moi qui vais alors adapter mon travail à celui de cette personne, en essayant de comprendre son propos, sa conception de l'oeuvre artistique, d'intégrer sa démarche
mais en lui donnant aussi quelque chose de moi, non pas pour améliorer ni rajouter quelque chose en surplus
mais alimenter son travail et le mien en réciprocité, et en toute sympathie.

Ces offres de services prennent place
au fur et à mesure de leur réalisation
dans mon travail de thèse
thèse sur travaux en Esthétique engagée depuis novembre 1999 à l'université de Paris 8-Saint-Denis,
directeur de recherche, Jean-Louis Boissier.
Si quelqu'un choisit de faire appel à mes services,  le compte-rendu de cette collaboration apparaîtra, avec son accord, dans la somme de ce travail universitaire (mais pas avant 3 ans, minimum).
Pour ce faire, il suffit de prendre contact avec moi et de me faire part du projet afin de déterminer au mieux  mes possibilités d'intervention à l'intérieur de ce travail.

Lettre à Jean-Louis Boissier, mardi 19 octobre 1999
Les deux "r" de caroline proviennent de l'erreur d'un ami taïwanais qui a effectué mon inscription internet : je corrige habituellement ses fautes de français, il utilise d'ailleurs souvent les doubles lettres à tort et à travers, ça lui plaît beaucoup, surtout dans le mot "courage". J'ai conservé ce nom-là pour cette obscure raison, un peu comme un nom de guerre, celui d'une personne presque pareille mais plus conquérante, avec plein de courrage.  D'ailleurs, le prénom Caroline est issu de Charles, le chef des armées et alors, carroline c'est un peu ma Jeanne d'arc. C'est donc carroline qui fait les offres de services, pas pour avancer masquée mais plutôt comme une prothèse (légère) à l'action, un habit de service.